Antonio Lizana

A partir de 14 ans. Durée : 1h30  Antonio LIZANA : chant, saxophone  

Daniel GARCIA DIEGO / Jorge VERA : piano, claviers, chœurs  

Arin KESHISHI : basse électrique  

Shayan FATHI : batterie 

El Mawi : danse, chœurs 

Naviguant entre New York et son Andalousie natale, Antonio Lizana est devenu en quelques années l’un des représentants les plus célèbres du jazz flamenco. Saxophoniste, chanteur et auteur-compositeur, il réinvente la tradition en mêlant jazz de haut vol, chant incarné et rythmes ibériques. Le voici sur scène avec son nouvel album Vishuddha.  Avec lui, le saxophone a définitivement acquis droit de cité dans l’instrumentarium flamenco. Accompagné d’un trio composé de la fine fleur des jazzmen madrilènes et d’un danseur, Antonio Lizana concilie dans ses compositions simplicité apparente et sophistication mélodique, inventant ici la fusion harmonieuse entre chanson, jazz, et flamenco. Ces dernières années, il a donné plus de trois cents concerts dans pas moins de trente pays. Impressionnant passeport. Sa formation a été accueillie par les plus prestigieux festivals de flamenco de New York, Londres, Barcelone, ou encore à la Scène Nationale de La Rochelle, l’Astrada de Marciac…   Sur scène, le natif de Cadix nous transporte des racines du flamenco au jazz le plus inventif, avec, culture andalouse oblige, un soupçon de sonorités mauresques et une pincée de culture gitane. Palmas, jaleos, chants gaditans puissants, jazz et improvisations racées font de chaque concert d’Antonio Lizana un voyage unique et inoubliable.  

Jazz ou flamenco, pourquoi choisir ? Antonio Lizana accorde les deux avec panache et une soirée enfiévrée vous attend à ALTIGONE.  « La magie de la performance de Lizana se produit lorsque deux mondes musicaux s’enroulent, comme des brins hélicoïdaux d’ADN sonores » - NATIONAL PUBLIC RADIO (NPR – USA)   « Voilà un jazzman pas comme les autres : redoutable saxophoniste et véritable chanteur de flamenco, l’espagnol développe un univers où se rencontrent hard-bop, musiques andalouses et même pop. » - JAZZ MAGAZINE