La célèbre tragédie de Racine revisitée, dans une mise en scène corporelle, sauvage et symbolique. L’ajout du personnage de Vénus, empruntée à « Hippolyte Couronné » d’Euripide, nous interroge sur la notion du libre arbitre. Tantôt acrobate perchée sur son mât, tantôt musicienne dissimulée dans le public, la déesse actionne les rouages de la tragédie, et piège les personnages entre désir, honte, aveu, jalousie et vengeance