BELLES DE SCENE

Londres, 1661. Après dix-huit années de fermeture imposée par la révolution puritaine, les théâtres ouvrent à nouveau. Mais la loi interdit toujours aux femmes de se présenter sur scène. Jusqu'au jour où... Un récit inspiré de faits historiques qui nous entraîne dans le sillage de personnages hauts en couleur, tour à tour petits et grandioses, mesquins et superbes, poétiques drôles...humains.

"Tout est beau, juste, grandiose dans la forme et le fond. La salle se lève comme un seul homme à la fin." Le Figaro

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"La mise en scène est pleine de peps. Le ton, léger, contrebalance la profondeur de la thématique. Une pièce passionnante portée par l’interprétation de haute volée de Vincent Heden, tout aussi virtuose en femme shakespearienne qu’en homme bafoué par les contradictions de son époque." Le Parisien

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"Avec humour, et sensibilité ces "Belles de scène" sont un joli moment." L'Humanité

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"Une immense réussite ! Un bel hommage au théâtre, aux femmes et à l’amour. Voilà le cocktail détonnant du nouveau spectacle immanquable de Stéphane Cottin." Foudart

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"Enchainement de scènes de groupe et de moments plus intimes et confidentiels, la pièce est une véritable réussite d’équilibre et de finesse. Une pièce qui fait office d’hommage au théâtre, aux comédiens et aux comédiennes ! Bref, on recommande !" ManiThea

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"Ce délicieux spectacle qui s’appuie sur une réalité historique mêle avec beaucoup de malice les thèmes du masculin et du féminin dans une intrigue où le théâtre occupe le premier rôle." Arts-Chipels

L’équipe de BAM-Ticket nous en parle : Forcément, nous connaissions notre camp dans ce combat. C’est vrai qu’on est, en général, bien prévisible face à l’inadmissible. Sauf qu’on n’avait pas prévu d’être touché·e·s par ces égotiques masculins qui n’existaient que par celles qu’ils interprétaient. Alors forcément, lorsque les femmes prennent leur place, on voit apparaître une chose rare, qu’on pourrait appeler le « revers de la défaite » : ceux dont on ne parle jamais, que le hasard n’a pas placés dans le sens de l’Histoire, les victimes dont tout le monde se fiche. Que de noms, pour si peu d’attention. Ce soir-là, le théâtre a réussi à percer nos barricades et, bizarrement, on s’est senti·e·s plus humains 𝑉𝑢 𝑝𝑎𝑟 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑙𝑜𝑡𝑡𝑒