On sait, il y a des rencontres qui orientent nos vies. Celle que va faire Jean-Pierre Savelli à Paris en 1968 s’est jouée sur un quiproquo entre carrefour Pleyel et salle Pleyel et va décider de son destin musical.Ce destin porte un nom déjà célèbre : Michel Legrand.Il y a dans l’ADN de toutes ses chansons quelque chose qui parle si fort au jeune chanteur de 19 ans qu’il parvient, d’emblée, à les incarner au plus juste. C’est la remarque que lui fait alors le compositeur de génie qui lui écrit, dans la foulée « Un goût de soleil, de pomme de miel » en devenant aussi son premier producteur.Coup d’essai, coup de maître : son style d’interprétation lui donnera, entre autres, la chance d’enregistrer « Peau d’âne » (Jacques DEMY) et « Les uns et les autres » (Claude LELOUCH).
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