La trompette d'Airelle Besson chante le lyrisme comme les plus belles voix du jazz.
Airelle Besson a rencontré le pianiste Sebastian Sternal et le batteur Jonas Burgwinkel lors d'un festival de jazz, chez eux, en Allemagne. Le nouveau trio s'est formé quand l'écoute réciproque est devenue joie de jouer ensemble. Pas de leader mais un même raffinement des timbres, une ligne mélodique généreuse, des envolées rythmiques éclatantes.
Le trio fait paraître son premier album et invite sur scène la chansigneuse Clémence Colin qui interprète la musique, ressentie par les vibrations, en langage des signes à destination de ceux qui, sourds et malentendants, écoutent avec leurs corps.
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