Le château de Malmaison est ouvert tous les jours sauf le mardi (dernière entrée 45 min avant l'horaire de fermeture le soir et 30 min avant le midi)Du 1er octobre au 31 mars :En semaine de 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h15Le samedi et dimanche de 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h45Le parc est ouvert en continu de 10h à 18h00Du 1er avril au 30 septembre :En semaine de 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h45Le samedi et dimanche de 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 18h15Le parc est ouvert en continu de 10h à 18h30Fermeture à 16h15 les 24 et 31 décembre (dernière entrée à 15h30)Fermé le 25 décembre et 1er janvierAccès gratuit le 1er dimanche du moisAujourd’hui musée-château, Malmaison fut de 1799 à 1814 la résidence privée de Napoléon Bonaparte et de Joséphine, une « campagne » située à une demi-heure de Paris, où le Premier Consul venait travailler et se détendre.A la différence des résidences officielles, comme le palais des Tuileries ou les châteaux de Saint-Cloud, Fontainebleau et Compiègne, Malmaison resta jusqu’à la mort de Joséphine, en 1814, une maison intime, renommée pour la beauté de ses jardins et les espèces rares de plantes, plusieurs centaines, qui y furent acclimatées.Construit au XVIIème siècle, le château de Malmaison a été acquis en 1799 par Joséphine Bonaparte qui cherchait une terre aux environs de Paris. Dès son retour d’Égypte, Bonaparte confirme cet achat et le couple fait alors appel aux architectes Percier et Fontaine qui transforment la vielle demeure en un exemple unique de style consulaire élégant et raffiné.A partir de 1800, le petit château est régulièrement le lieu où se décide la politique de la France et s’y succèdent réunions de travail, réceptions, concerts, bals et jeux champêtres. Après le divorce en 1809, Joséphine continue de vivre dans cette demeure où elle meurt le 29 mai 1814. Son fils, le prince Eugène, hérite de la propriété, mais par la suite le domaine est vendu à deux reprises puis racheté en 1861 par l’empereur Napoléon III. Il est enfin acquis en 1896 par un mécène et philanthrope, Daniel Iffla dit Osiris qui le restaure et en fait don à l’État. Un musée napoléonien est ouvert en 1905.La visite du château et du parc permet d’apprécier tout le charme de cette « campagne » qui a su conserver son atmosphère et son caractère d’authenticité.
Malmaison Brique par Brique Exposition prolongée jusqu’au 3 février 2025 A l’occasion des fêtes de fin d’année, le musée exposera une maquette monumentale du domaine au temps de Joséphine composée de plus de 30 000 petites briques. Vous y découvrirez le château, son parc, et des monuments aujourd’hui disparus comme les chassis de la serre chaude ou inaccessibles comme le temple de l’Amour. Petits et grands sont vivement attendus, saurez-vous trouver les différences ? Christelle Téa à Malmaison Carte blanche de la dessinatrice Christelle Téa au château de Malmaison Exposition prolongée jusqu'au 17 février 2025 Christelle Téa, dessinatrice née en 1988, renouvelle le regard porté sur la résidence privée des Bonaparte. Avec une grande économie de moyens – un stylo à l’encre de Chine qui n’autorise aucun repentir – elle trace sur de larges feuilles de papier Canson au grain fin, vingt dessins qui montrent l’intérieur et les jardins de cette demeure de plaisance si chère à Joséphine. L’oeil acéré de Christelle Téa retient l’essentiel des grands décors conçus pour la femme du Premier Consul, puis pour l’Impératrice. Le vestibule, la salle-à-manger, le billard, les salons, la chambre… s’enchaînent dans une vision kaléidoscopique dont ne sont exempts ni les lignes fuyantes et distordues, ni les drapés, ni même encore les entrelacs du style arabesque revu par Percier et Fontaine. Les motifs emblématiques du goût consulaire – dont cette maison des champs est le conservatoire – surabondent… À travers le prisme qui est le sien – et ce n’est pas le moindre de ses paradoxes – Christelle Téa propose un univers tout en retenue, au coeur même d’un foisonnement de détails… Dans un frêle équilibre, l’angle de vue choisi par l’artiste semble tordre la réalité de ces lieux à la fois précieux, intimes et parfois un peu solennels. Lorsqu’elle s’échappe, fuyant d’un château à l’autre, elle représente le parc et les jardins de Malmaison et de Bois-Préau. Son trait minutieux et son sens très personnel de la perspective montrent des vues pittoresques de ces lieux romantiques parcourus d’allées sinueuses ou peuplés d’herbes folles, de vases et de statues.
Régime général du droit d’entrée : Gratuité :Moins de 18 ans18-25 ans de nationalité européennePersonnel en activité ou retraité du Ministère de la Culture et de laCommunication (avec un accompagnateur)Visiteurs handicapés civils (avec un accompagnateur si besoin spécifié)Mutilés de guerre (avec un accompagnateur si besoin spécifié)JournalistesÉlèves* de l’École du Louvre, des Chartes et de l’Institut national duPatrimoineConférenciers et guides-interprètes nationaux et régionauxArtistes professionnels (peintres, sculpteurs, graveurs)Demandeurs d’emploiBénéficiaires du RSABénéficiaires de l'ASSTitulaires du minimum vieillesseMembres de l’ICOM et de l’ICOMOSMembres de l’Association Internationale des Critiques d’Art ouMembres du Syndicat de la presse artistique, personnels des muséeset de l'OCBCEnseignants de l’Education Nationale en activitéDéputés et sénateurs Tarifs réduits :18-25 ans hors UECarte de famille nombreuseMembres de la société des Amis du LouvreMembres des sociétés françaises d’archéologie, sauvegarde de l’art français, société de l’art français, société nationale des antiquaires de France
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