57 ans après les adieux de Brel à l'Olympia... Non Arnaud Askoy n’est pas Brel mais à l‘entendre, à le voir on pourrait y croire. Arnaud donne chair avec sincérité au Grand Jacques. La ressemblance troublante, l’empreinte vocale saisissante, le respect des outils fondamentaux de mise scène de Brel ne sont que des éléments physiques du spectacle, le décor nécessaire. A l’image des arrangements originaux de Roland Romanelli, sur scène avec son complice Jean-Philippe Audin au violoncelle, c’est bien la flamme personnelle d’Arnaud Askoy, cette charge émotionnelle, généreuse, qui doit venir nous bouleverser, faire naître une magie comparable à celle de l’époque, comme une toile impressionniste vivante. Telle est la promesse : « Ceci n’est pas Brel ! » aurait dit Magritte, laissez-vous faire… 1 ère partie : Un retour au music-hall des années 60
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