ZE Bit

Entre hommage à Georges Bizet et danse contemporaine, laissez vous surprendre par la modernité de ce spectacle proposé par les élèves du conservatoire !

Pour cette création, les élèves de danse contemporaine des cycles 1, 2 et 3, du conservatoire puisent dans la culture musicale contemporaine tout en rendant hommage à Georges Bizet, grand compositeur du romantisme.

Le jeu de mots autour de son nom, BIZET - ZE BIT / Ze BeAts • BEATS, ouvre la voie à une exploration sonore et rythmique. Le terme Binary digiT signifie chiffre binaire et fait référence aux deux valeurs de base : 0 et 1. En musique, le bit rate désigne le débit de données par seconde, soit la quantité de détails sonores (16 bits, 24 bits, etc.) que l’on peut stocker dans un fichier audio, influençant la qualité des sons. Par ailleurs, le terme beat évoque les battements et le rythme, caractéristiques de divers styles musicaux actuels.

Quelles traces, souvenirs ou sensations conservons-nous de l’œuvre musicale de Bizet et de son monde ? Comment sa musique peut-elle encore résonner en 2024 ?
Ces questions ouvrent un champ des possibles et invitent à une co-création avec le département des Musiques Assistées par Ordinateur (MAO). Les élèves revisitent les œuvres de Bizet sous le prisme d’un regard contemporain, en élaborant une composition sonore originale inspirée des résonances et des empreintes laissées par son œuvre.

Les danseuses et danseurs, influencé·e·s par les pratiques et compétences développées tout au long de l’année, et motivé·e·s par des impulsions variées, seront guidé·e·s pour proposer une chorégraphie où transparaîtra la richesse de leurs expériences en tant que jeunes artistes. Ils donneront ainsi vie à des mouvements qui résonneront dans l’espace.

Ce projet invite à réfléchir sur l’interaction entre danse et musique, entre époque classique et contemporaine, tout en laissant place à une multitude d’interprétations et d’expressions artistiques Sur réservation sur le site internet du conservatoire

Professeurs : Flora Rogeboz / Leandro Villavicencio