Insula orchestra propose un voyage dans les terres romantiques allemandes.
Si Franz Schubert y occupe une place de choix avec notamment sa Symphonie « tragique » dont la tonalité en mineur accentue l’inquiétude, Laurence Equilbey, après avoir enregistré l’œuvre de Louise Farrenc, choisit de mettre en écho une symphonie d’Emilie Mayer, compositrice du XIXe siècle au catalogue impressionnant. Une œuvre qui permet de comprendre pourquoi elle a été souvent surnommée « la Beethoven au féminin ».
Cet événement est proposé par l'organisation : Billetterie du Bureau des Arts de Sciences Po Paris
Tags : Musique classique, Voyages, Patrimoine
19:00- 20:40