"Par quel bout le prendre ?" s'interrogeait le dramaturge Jean Jourd'heuil en 1973 à propos du Théâtre de Brecht.
Il n'y a pas un Brecht, mais des Brecht. Ses pièces sont des terrains de jeux où s'aiguisent une pensée de la scène et du monde: La Noce en est l'exemple parfait.
L'arme est le langage ! Mots qui blessent et phrases assassines, avec la complicité des spectateurs conviés à cette noce, nous scruterons joyeusement l'intimité du cercle familial, la violence et la noirceur de l'ordre bourgeois et les dégâts d'un monde réactionnaire. - Olivier Peigné
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