L’Orchestre L’Orphéon vous convie à deux concerts exceptionnels le vendredi 20 juin à 20h30, à l’Église Sainte-Marthe des Quatre Chemins (Pantin) et le mardi 24 juin à 20h30, à l’Église Notre-Dame du Travail (Paris 14ᵉ)
Pour cette session, l’Orphéon donnera deux concerts :
- Le vendredi 20 juin à 20h30 à l’Église Sainte-Marthe des Quatre Chemins (Pantin)
-Le mardi 24 juin à 20h30 à l’Église Notre-Dame du Travail (14e arrondissement).
À cette occasion, l’ensemble mettra en lumière des œuvres singulières, soigneusement sélectionnées pour leur pouvoir de surprise et de fascination. Le programme, composé de pièces rares et envoûtantes, promet au public une expérience musicale hors du commun.
Au cœur de ce concert figure le Double Concerto pour alto et clarinette de Max Bruch, une composition intrigante et méconnue. Œuvre d’une grande finesse, elle instaure un dialogue subtil et poétique entre deux instruments solistes rarement associés : l’alto, à la voix chaleureuse et profonde, et la clarinette, agile et expressive. Ce face-à-face sonore exige des interprètes une technique irréprochable et une complicité artistique exceptionnelle. Pour cette occasion, les solistes Gilles Roulleaux Dugage et Léa Obadia, jeunes talents prometteurs du Pôle Sup’93 et du PSPBB, se lancent dans cet échange musical avec audace et sensibilité.
En contrepoint, la Première Symphonie de Sergueï Prokofiev, dite “Classique”, déploie son charme intemporel.Véritable hommage à l’ère classique de Haydn et Mozart, cette œuvre mêle une structure rigoureuse et des traits résolument modernes. Le style de Prokofiev y éclate dans un mélange unique de légèreté, de vivacité rythmique et de mélodies lumineuses, incarnant une modernité ludique qui a marqué le répertoire du XXe siècle.
Pour conclure, les Danses de Galánta de Zoltán Kodály célèbrent le folklore hongrois avec éclat. Inspirées des airs traditionnels de sa région natale, ces pages vibrantes évoquent avec passion et authenticité les rythmes festifs et les couleurs chatoyantes de la musique populaire. Kodály y déploie un langage orchestral riche et varié, captivant l’auditoire par la fougue et l’émotion qui se dégagent de chaque mesure.
18:30- 20:00