Ces ateliers animés par Olivier Liron se veulent une invitation à la beauté, à la contemplation, à la rêverie, à accepter aussi ce qu’on ne maîtrise pas, ce qui nous échappe dans la dimension mystérieuse du vivant…
Chez des écrivains comme Colette, Giono, Robert Hainard, jusqu’à des penseurs
contemporains comme Baptiste Morizot,
le dialogue entre la littérature et les êtres vivants est très riche. Même en
ville, on peut s’amuser à observer la présence de la nature. Notre perception
du monde vivant est multiple, allant de l’émerveillement à l’étrangeté, offrant
une inépuisable gamme d’émotions et de sensations pour l’écriture.
Que peut nous apporter ce compagnonnage ? Avez-vous déjà eu
le sentiment de connaître intimement un animal, ou une plante ? De
parler avec elle, ou avec lui ?
Comme le dit le botaniste Francis Hallé, il n’est pas besoin de jungles luxuriantes pour
rêver, parfois dans une jardinière, de petites plantes se sont mises à pousser,
qui nous intriguent… écrire le monde vivant est souvent une question de regard,
et d’échelle.
Autant de portes qu’on ouvre vers la découverte, vers la
connaissance, pour bouleverser une image un peu trop ordonnée du monde végétal
ou animal.
Deux sessions du même atelier
> Mardi 10 juin de 19 à 21 h
> Vendredi 13 juin de 19 à 21 h
Sur inscription au choix, public adulte
Écrivain (Alma, Gallimard, Laffont, Rivages…), poète, enseignant et
musicien, Olivier Liron anime régulièrement des ateliers d’écriture. Grand Prix des Blogueurs
littéraires en 2018 avec son deuxième roman, Einstein, le sexe et moi, il est également l’auteur en 2025 de
l’essai Éloge des mousses, consacré à ces plantes étonnantes.
Interview dans Libération du 12/04/2025
17:00- 19:00