ROBINSON KHOURY

= ROBINSON KHOURY

Mÿa

 

On ira écouter le jeune tromboniste Robinson Khoury, qui vient de sortir le remarquable album « Mÿa », sur lequel il marie le jazz et la musique électronique avec les échos anciens des chants grégoriens et du maqâm arabe. (Télérama)

 

Voici un instrumentiste exceptionnel, doublé d'un excellent compositeur dont les réalisations rivalisent d'inventivité et de charme. Repéré il y a quelques années aux côtés d'Ibrahim Maalouf et de Natacha Atlas, il a participé à la réussite du groupe SARAB et obtient un coup coeur de l'Académie Charles Cros pour son récent disque « Broken Lines ». En mars 2025, il obtient le « Prix Django Reinhardt » de l'Académie du Jazz qui consacre le meilleur musicien de l'année.

 

Son nouveau répertoire baptisé « Mÿa » est une création onirique inspirée par les éléments et l'évolution, qui ira puiser des thématiques du côté de mélodies anciennes, de rythmes sur peaux, de chants grégoriens comme de maqâmat de la musique arabe, ... et y ajoutera une dimension électronique, analogique et modulaire pour représenter l'inconnu des temps oubliés...

 

Aux percussions digitales et à la voix : Anissa Nehari, musicienne au dynamisme sensible, envoutante et envoûtée par les rythmes du monde.

 

Au piano, synthétiseurs et voix : Léo Jassef, un artiste touche à tout d'une grande sensibilité qu'on a pu entendre aux côtés de Yom.

 

Robinson Khoury complète ce trio au trombone, différents instruments à embouchure, à la voix et au synthétiseur modulaire.

 

= Ils en parlent =

Si l'intelligence peut désormais être absolument artificielle, celle de « Mÿa » est intensément, organiquement, humaine. Parfois tribale, voire primitive, sa musique n'en est pas moins terriblement de notre temps. (France Musique)

 

Le jeune virtuose du trombone nous invite dans sa musique des sphères. (FIP)

 

Sur « MŸA », pétri de la liberté qu'offre le jazz et de résonances électroniques et rétro-futuristes avec un synthé modulaire, il s'inspire aussi des traditions du Moyen-Orient de ses ancêtres comme des partitions savantes de Jean-Sébastien Bach. (FIP)

 

Si « Mÿa » est un passionnant trio de brillants instrumentistes, c'est aussi un étonnant trio vocal. (France Musique)

 

Il révèle la profondeur de son univers auquel mènent les chemins qui relient jazz, chanson, musiques orientales, spoken world et electro dansante et planante. Il ouvre la voie vers un territoire encore vierge, empreint d'un mystère impénétrable, et à plus d'une reprise, touche au sublime. (CHOC JAZZ MAG)

 

Un album qui interpelle dans sa beauté trouble et primitive et souffle avec sincérité et éloquence sur les braises d'un présent consumé. (Top Mezzo)