Exposition - Géographie(s) de l'exil

Géographie(s) de l’exil : raconter les marges et les espaces occultés met en lumière, à travers divers médiums, les espaces de l’exil pour en révéler la pluralité et réhumaniser les trajectoires.

Géographie(s) de l’exil : raconter les marges et les espaces occultés met en lumière, à travers divers médiums, les espaces de l’exil pour en révéler la pluralité et réhumaniser les trajectoires.

Vernissage vendredi 18 juillet à partir de 18h

Ateliers

Samedi 19 juillet à 11h : Exil·é·s en France : réalités de l'accueil et parcours administratifs. À partir d’une enquête menée par Alice Geraut et Laodice Poupin intitulée L’entre-deux de l’accueil des déplacés d’Ukraine en France.

Dimanche 20 juillet à 14h : Diffusion du documentaire sonore Prochain arrêt, Calais ville réalisé par Jeanne Turquier.

Dimanche 20 juillet de 16h à 18h : Ateliers de calligraphie (sur inscription) et lecture de poèmes autour de l’exil proposé par Rayane Belateche.

Artistes : Ozan Acidere, Reem Alnatsheh, Harry Forster, Laodice Poupin, Jeanne Turquier, Noame Toumiat

Penser et réinstaurer la pluralité des espaces permet de réhumaniser les vécus. Qu’il s’agisse d’espaces matériels, immatériels, d’espaces d’échanges ou de l’imagination : les espaces se réinventent, préservent et soutiennent, temporairement ou plus durablement, des interactions avec soi-même et le monde.
Géographies de l’exil entend retranscrire ces formes plurielles d’espaces à travers plusieurs médiums et travaux. Dans un contexte où les représentations médiatiques biaisées influencent les perceptions, notamment celles liées aux espaces, faire connaître ces lieux permet de réhumaniser et de sensibiliser aux trajectoires migrantes. Exposer ces lieux pluriels permet de repenser les vécus, de prendre conscience des violences structurelles et quotidiennes, enrayant une forme d’exceptionnalité parfois mise en exergue par les récits médiatiques instaurant une distance face aux difficultés existantes.