Et si comprendre l’histoire passait d’abord par les émotions qu’elle suscite ?
La certitude d’assister aujourd’hui à un moment de bascule dans les équilibres du monde dessine la fin d’une ère qui a commencé en 1989-90, dans l’inquiétude, l’indignation mais aussi dans une joie intense. Plus encore que les changements réels qu’elle a entraînés, c’est le souvenir d’émotions puissantes qui fait la postérité de 1989, rare césure positive de l’histoire contemporaine. Cette soirée se propose de réfléchir, en considérant ensemble la France et l’Allemagne dans une perspective d’histoire croisée, à la façon dont les émotions sont, pour les contemporains, un moyen d’appréhender les grands ébranlements.
En partenariat avec le CIERA
16:30- 18:00