


Schubert et Beethoven, de l'ombre à la lumière – Jean-Nicolas Diatkine
L'extraordinaire vitalité de Beethoven, son puissant désir de reconnaissance, enfin sa combativité contre l'adversité, étaient devenus pour Schubert l'objet d'une admiration presque inhibante, au point que la disparition de son modèle, en 1827, ait pu être ressentie par lui comme une sorte de libération.
Réciproquement, Beethoven malade aurait reconnu tardivement le génie de son admirateur, dont le rayonnement fut essentiellement posthume. Rayonnement dont Liszt, Schumann et particulièrement Brahms, à qui l'on doit la première édition des Klavierstücke D.946, ont été les principaux artisans.
Programme :
Brahms, Rhapsodie N°1 op.79
Schubert, Klavierstücke N°1 D.946
Beethoven, Sonate N°15 op.28 "Pastorale"
Entracte
Schubert, Six Moments musicaux D.780
Beethoven, Sonate N°23 op.57 "Appassionata"
19:00