L’exil comme moteur de création - À l’heure où la scène chorégraphique moderne se déploie, la montée du nazisme contraint une génération d’artistes à fuir. Parmi eux, Paula Padani, dernière étudiante juive de l’École Wigman, emporte son art au-delà des frontières. Une traversée où la danse se réinvente.
La montée du nazisme bouleverse une scène chorégraphique moderne en plein essor, poussant une partie de ses artistes à l’exil. Dernière étudiante juive de l’École Wigman à Dresde, Paula Padani fuit l’Allemagne pour échapper aux interdits et poursuivre son art. Comme elle, d’autres artistes d’Europe centrale ouvriront des routes inédites pour la danse, façonnant une nouvelle histoire de la danse "hors-les-murs".
Cette discussion, en écho à l’exposition « Paula Padani. La danse migrante : Hambourg, Tel-Aviv, Paris » au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, permettra d’aborder les enjeux peu connus de l’exil des milieux chorégraphiques dans le contexte des années 1930 et 1940.
En partenariat avec le mahJ, exposition à voir jusqu’au 16 novembre 2025.
16:30- 18:30